Comme le suggère Polinacide, c’est le moment de faire le ménage dans sa tête !
Le bonheur de « faire le vide ». Quand certains attendent le grand nettoyage de printemps pour en éprouver toute la joie, c’est au quotidien que nous gagnerions tous à cultiver l’art de la simplicité. Less is more, et pas seulement dans la mode. Comme le serpent qui entame chaque cycle en faisant peau neuve, quoi de plus plaisant que d’accueillir les premiers rayons de soleil en vidant ses placards du superflu ? Une mue symbolique, tant pour l’esprit que pour le toit qui l’accueille : telle une femme qui change radicalement de coupe pour faire le deuil d’une rupture amoureuse. Les larmes en moins.
Accro à la propreté ? N’est pas Cendrillon qui veut, mon goût pour le ménage tient plutôt à ses vertus thérapeutiques qu’au sex-appeal du chiffon microfibre. Les pensées en mode off, le corps en pleine conscience ; trier ses affaires en même temps que ses idées, un « reset » libérateur…
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