Je suis un verbeux aux mots poilus. Hirsute, je pique, je porte l’estocade virile dans les plis boueux de mon esprit souillé. Dans les franges de mon carnet à simagrées, j’hésite à me tresser une raison, craignant d’essorer le fil de ma pensée effilochée. Une toile s’étiole devant moi de manière impudique. Une image en... Lire la Suite →