coucou blog !

« Qui sait mourir n’a plus de maître ». Sully Prud’homme.

Le monde est une grande toile sur laquelle il est possible de poser des couleurs et des mots au gré de notre fantaisie, pour peu qu’on le décide.

Ca y est, je me suis armée d’un stylo et d’un pinceau et j’ai bien l’intention de remplir ma toile comme cela me chante. Je suis aussi excitée qu’un enfant à qui on a offert un carnet et une boîte de crayons !

Je vais barbouiller et scribouiller à souhait. Pas de retenue, pas de conformisme, pas d’interdits.

On échange tant que cela permet de laisser place à la magie. Sublimer la vie, la réinventer,

Lui offrir tout un champ de perspectives qui élargit le domaine des possibles.

Il n’existe pas un point de vue mais une infinité de points de vue et je veux les connaître, les explorer jusqu’ à m’enivrer.

En piste. On commence où on veut, quand on veut, comme on veut.

Laisser le corps s’exprimer comme une signature de l’être dans l’espace. Exécuter une véritable chorégraphie de l’âme et laisser des traces qu’elles soient profondes ou fragiles.

Avoir la grâce du papillon et laisser s’envoler les pensées sans tenter de les retenir.

Les offrir comme on offre du chocolat à des gourmands.

Oui, j’aimerais que cet espace soit également une vitrine où vous pourrez choisir votre friandise. Des mots qui croustillent, qui grincent, qui geignent, qui saignent, qui aiment, qui frissonnent, qui caressent, qui vous arrachent des émotions, qui vous les prennent, qui vous tirent des larmes mais qui vous les rendent magnifiées.

Le vertige de l’inconnu, le charme de  l’inattendu. Je vais vous emmener en voyage si vous acceptez de monter à bord de mon délire et me suivre dans mes errances spirituelles, philosophiques, politiques, sociologiques, dramatiques, cosmiques et tout ce qui finit en «  ique » sans le hic !

Je rêve d’un monde où personne n’a peur des couleurs ou personne n’a peur d’être mais est tout simplement.

Je veux vous offrir chaque jour une part de moi-même. Vous en aimerez peut être et en détesterez sans doute.

Je ne vous invite pas à regarder par le trou de la serrure parce que je vous invite à entrer par la porte et peu importe si vous sortez par la fenêtre.

Je vous propose de transfigurer virtuellement le monde dans ce modeste espace.

 

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