Haruki ? 🙂 Je me garderai bien de dire ce qu’il faut lire, c’est personnel à chacun. J’ai trouvé cette réflexion intéressante pour le débat qu’elle soulève. Lire pour soi et non pour suivre des listes culpabilisantes. Les livres qu’il faut avoir lus dans sa vie… Je me permets juste de te recommander Albert Cossery, dont je t’ai parlé dernièrement 🙂 Son écriture est magnifique.
Bises et belle journée à toi Elisa !
Loin de toute injonction, les conseils de lecture permettent d’ouvrir vers des auteurs auxquels on ne s’adresse pas spontanément. Alors merci pour Albert Cossery que je vais prendre plaisir à découvrir. Excellent we 🙂 ❤
Je partage l’idée d’éviter les listes de livres à lire absolument parce que dans un livre, chacun recherche une atmosphère qu’il est seul à même de trouver. Alors tout au plus pouvons nous dire qu’un livre nous a plu. En ce qui me concerne, si vous aimez la littérature américaine, prenez le temps de découvrir la collection Lot49 des éditions du Cherche-midi. Des livres parfois déroutants mais, au moins, ils interpellent. Et si un auteur doit être le premier à lire, alors, sans hésitation, Richard Powers et « La chambre aux échos ». Sinon, en dehors de cette collection, pour entrer dans le Japon contemporain loin des mangas et de la réussite, un quasi homonyme de l’auteur de la citation: Murakami Ryu et sa trilogie Ecstasy, Melancholia et Thanatos. Et là, je me tais et retiens l’idée du 22 juin.
Bonjour, merci de m’avoir rendu visite et merci pour vos conseils de lecture. Je suis intriguée par Richard Powers, je vais tâcher de le découvrir et en ce qui concerne Murakami Ryû, j’ai tenté de lire « Les bébés de la consigne automatique », mais je n’ai pas pu poursuivre tellement c’était dur. Peut-être y reviendrai-je. Belle journée, je vais aller vous rendre visite.
Bonsoir, je vous en prie. Pour vous donner une idée de ce que j’ai ressenti à la lecture de la chambre aux échos, je reprends le commentaire que j’avais écrit sur Babelio (un site que vous devez connaître mais que je n’ai plus alimenté depuis quelques temps : »Si Lot 49 » est sans conteste une belle collection des éditions du Cherche-midi, avec ses écrivains américains aux styles et écritures hors normes, Richard Powers, avec « La chambre aux échos », en est l’un des meilleurs représentants, s’il n’est le meilleur selon moi.
Une histoire originale, portée par une trame qui se déroule sans jamais vous lasser, un domaine passionnant qui vous amène à mesurer la fragilité de nos consciences, des personnages très ordinaires, un cadre, le Nebraska, qui nous fait oublier New-York et la Californie des clichés US et surtout, une écriture d’une telle poésie que le livre n’est que rythmes, musiques, sensations.
« Et que le vaste monde poursuive sa course folle », de Colum Mc Cann a également cette force que recèle l’écriture des sentiments et des sens mais « La chambre aux échos » possède, en outre, cette histoire qui vous porte comme un thriller.
Il est l’un des six livres que j’emporterais avec moi sur une île déserte avec « L’ombre en fuite » de Richard Powers également. Alors, si vous voulez découvrir un grand auteur américain, lisez ses livres, sans hésitation. » si cela vous intéresse, j’ai mis des commentaires sur d’autres de ses livres mais aussi sur ceux de M. Ryu sur babelio: pseudo identique: klagg36
Mais c’est bien sûr !
Des lectures à conseiller pour sortir des chemins battus ma chère Nadia ?
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Haruki ? 🙂 Je me garderai bien de dire ce qu’il faut lire, c’est personnel à chacun. J’ai trouvé cette réflexion intéressante pour le débat qu’elle soulève. Lire pour soi et non pour suivre des listes culpabilisantes. Les livres qu’il faut avoir lus dans sa vie… Je me permets juste de te recommander Albert Cossery, dont je t’ai parlé dernièrement 🙂 Son écriture est magnifique.
Bises et belle journée à toi Elisa !
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Loin de toute injonction, les conseils de lecture permettent d’ouvrir vers des auteurs auxquels on ne s’adresse pas spontanément. Alors merci pour Albert Cossery que je vais prendre plaisir à découvrir. Excellent we 🙂 ❤
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Merci Elisa et excellent week-end à toi aussi 🙂 Bises !
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Alors là je suis d’accord à 200 % 🙂
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Et si on instaurait la soirée « Faites du silence » le 21 juin ?
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le 22 juin … comme cela les gens pourrait comparer 😉
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Oui, ce serait deux expériences uniques 🙂
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Je partage l’idée d’éviter les listes de livres à lire absolument parce que dans un livre, chacun recherche une atmosphère qu’il est seul à même de trouver. Alors tout au plus pouvons nous dire qu’un livre nous a plu. En ce qui me concerne, si vous aimez la littérature américaine, prenez le temps de découvrir la collection Lot49 des éditions du Cherche-midi. Des livres parfois déroutants mais, au moins, ils interpellent. Et si un auteur doit être le premier à lire, alors, sans hésitation, Richard Powers et « La chambre aux échos ». Sinon, en dehors de cette collection, pour entrer dans le Japon contemporain loin des mangas et de la réussite, un quasi homonyme de l’auteur de la citation: Murakami Ryu et sa trilogie Ecstasy, Melancholia et Thanatos. Et là, je me tais et retiens l’idée du 22 juin.
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Bonjour, merci de m’avoir rendu visite et merci pour vos conseils de lecture. Je suis intriguée par Richard Powers, je vais tâcher de le découvrir et en ce qui concerne Murakami Ryû, j’ai tenté de lire « Les bébés de la consigne automatique », mais je n’ai pas pu poursuivre tellement c’était dur. Peut-être y reviendrai-je. Belle journée, je vais aller vous rendre visite.
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Bonsoir, je vous en prie. Pour vous donner une idée de ce que j’ai ressenti à la lecture de la chambre aux échos, je reprends le commentaire que j’avais écrit sur Babelio (un site que vous devez connaître mais que je n’ai plus alimenté depuis quelques temps : »Si Lot 49 » est sans conteste une belle collection des éditions du Cherche-midi, avec ses écrivains américains aux styles et écritures hors normes, Richard Powers, avec « La chambre aux échos », en est l’un des meilleurs représentants, s’il n’est le meilleur selon moi.
Une histoire originale, portée par une trame qui se déroule sans jamais vous lasser, un domaine passionnant qui vous amène à mesurer la fragilité de nos consciences, des personnages très ordinaires, un cadre, le Nebraska, qui nous fait oublier New-York et la Californie des clichés US et surtout, une écriture d’une telle poésie que le livre n’est que rythmes, musiques, sensations.
« Et que le vaste monde poursuive sa course folle », de Colum Mc Cann a également cette force que recèle l’écriture des sentiments et des sens mais « La chambre aux échos » possède, en outre, cette histoire qui vous porte comme un thriller.
Il est l’un des six livres que j’emporterais avec moi sur une île déserte avec « L’ombre en fuite » de Richard Powers également. Alors, si vous voulez découvrir un grand auteur américain, lisez ses livres, sans hésitation. » si cela vous intéresse, j’ai mis des commentaires sur d’autres de ses livres mais aussi sur ceux de M. Ryu sur babelio: pseudo identique: klagg36
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Merci beaucoup pour ce partage très enrichissant. J’irai sur Baeélio également. Belle journée ! 🙂
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Je vous en prie, à bientôt.
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